Depuis quelques temps … Des années, plus précisément, il y a des « YA-KAS et des FAU-CONS », postés à l'affût, bien cachés style F.O.M.E.C .: dans les années 60/70 j'ai souvenir que quand on parlait de FOMEC on faisait allusion au camouflage bien sûr, mais dans mon esprit j'ai gardé ces initiales qui voulaient dire: F = FORME O = OMBRE M = MILIEU E = ENVIRONNEMENT C = COULEUR. Ils se servent souvent d'un intermédiaire pour parfaire à leurs fins : détruire toutes manifestations, et mettre dans l'embarras des bénévoles engagés et volontaires. Dernièrement nous le percevons dans certaines manifestations, et des concours qui ont été torpillés par des "sous-marins" venu des eaux profondes.
- Savez-vous qui est LES ENNEMIS HEREDITAIRES du bénévole ? Ce sont le «YAQUA», et le «FAU-CON», noms populaires dont les origines n’ont pu être à ce jour déterminées ; le « YAQUA », et le «FAU-CON», sont aussi des mammifères bipèdes, mais ils SE CARACTERISENT SURTOUT PAR UN CERVEAU TRES PETIT qui ne lui permet de connaître que QUATRE MOTS « y’a qu'à », et «faut qu'on» ce qui explique leurs noms.
- Le « YAQUA », et le «FAU-CON» bien abrités dans la cité anonyme, ATTEND. Ils attendent le moment où le bénévole fera une erreur, un oubli, et là, il bondit et lance son venin qui atteindra son adversaire et provoquera chez celui-ci une maladie très grave :
« LE DECOURAGEMENT ».
- Les premiers symptômes de cette implacable maladie sont visibles rapidement : absence de plus en plus fréquentes, intérêt croissant pour sa vie privée et son jardin etc… Je vous le disais c’est une race à part !!!
- Les bénévoles décimés par le découragement risquent de disparaître et il n’est pas impossible que, dans quelques années, on rencontre cette espèce uniquement dans les zoos où, comme tous ces animaux enfermés, ils n’arriveront plus à se reproduire.
- Les « YAQUAS », et les «FAU-CON», avec leur petits cerveaux et leurs grandes langues, viendront leur lancer des cacahuètes pour tromper l’ennui ; ils se rappelleront avec nostalgie du passé pas si lointain où ils pouvaient traquer le bénévole sans contrainte.