A qui la faute, si la pétanque n'est pas aux Jeux Olympiques de PARIS 2024 ?
Malgré les efforts de l'actuel Comité Directeur, c'est notre faute … Oui, ne cherchez pas chez le voisin, ne cherchez pas un bouc-émissaire, c'est notre faute. Des exemples, nous pouvons en citer à la pelle … :
Combien d'entre vous ont protesté la nouvelle règlementation sur les tenues, et même déjà certains s'empresse a balancer sur les réseaux sociaux l'abandon de ce règlement ...
Combien d'entre vous ont grogné, et grogne encore sur l'interdiction de fumer sur TOUS les terrains.
Combien d'entre vous n'ont aucun RESPECT de l'adversaire, et même de son partenaire, et pire de l'arbitre et des organisateurs.
Combien d'entre vous mordent le rond quand l'arbitre a le dos tourné.
Au niveau calendrier unique, cela était tout une histoire. Chaque comité regardait son nombril sans s'inquiéter du GRAND BAZAR, qu'il produisait.
Combien de Comité n'ont pas de politique Jeunes, n'ont même pas de ETD, pire d'éducateur BF2. Le constat est bien là, quand on compte seulement 50 départements représentés au dernier colloque des éducateurs.
Depuis quelques années la TV s'est intéressée à la pétanque. Un point positif, avec quand même un bémol. Il faudrait éteindre les micros des joueurs, pour éviter d'entendre des raisonnements et des paroles qui discréditent la pétanque.
Par cet échec, il faut REBONDIR. Il faut continuer a améliorer notre image. Acceptons les décisions fédérales et au lieu de les critiquer, donnez des idées, proposez des suggestions. Construisons ensemble sans détour et arrière pensée.
Aujourd'hui la pétanque a un genoux à terre, mais demain elle va se relever, pour devenir plus forte, et enfin être reconnue parmi les sports olympiques. Construisons la pétanque de demain pour nos enfants.
Nous sommes TOUS fautifs, a nous de réparer. EDUCNAUTE-INFOS continuera a œuvrer pour les jeunes, pour l'application du règlement, pour le RESPECT des Arbitres, des organisateurs. Nous perceverons de travailler avec les instances fédérales.
Il faut adopter une critique positive, et balayons devant notre porte sans détour, et cessons de rouscailler.