5 Juin 2013
«Si vous voulez abattre votre chien, dites qu'il a la rage !!!».
C'est par ces mots que je débuterais cet article.
Elle est pas SUPERBE cette école ...???
Depuis quelques jours, l'École de Pétanque de Saint Couat, honorablement connu et reconnu dans notre Région Midi-Pyrénées, subit des pressions, des accusations non fondées. Tout est fait pour déstabiliser les dirigeants, jusqu'à les pousser a commettre l'irréparablee. (CLIC ICI Alen COGO (B.F.2) s'explique et s'excuse sur ses propos malencontreux)
Alen Cogo "suspendu 4 ans" !!!
Educ.Naute.Infos a décider de mettre fin à toutes ces accusations. Si vous avez croisé, côtoyé, rencontré, les jeunes, les éducateurs, et les responsables de l'École de Pétanque de Saint Couat, et que vous apprécié leur sympathie, leur fair-play, leur dévouement, et que vous avez accueillis sans détour, cette École de Pétanque, FAITES LE SAVOIR ...!!!
Ecrivez un courrier de soutien à l'adresse suivante:
famille.cogo@yahoo.fr
Rencontre avec l'Equipe d'Ukraine
J'ai vraiment plaisir, a rencontrer cette École de Pétanque.
J'ai vraiment plaisir, a partager les points de règlement avec les responsables de cette École de Pétanque.
J'ai vraiment plaisir, de lire les vidéos de leurs nombreux déplacements.
Oui, ces dirigeants, Oui ces éducateurs, Oui ces initiateurs sont dans le VRAI.
Ces responsables font tout pour que les jeunes ne soient pas désoeuvrés, et qu'ils n'errent pas dans les rues, pour devenir des futurs délinquants.
Mesdames et Messieurs "Chapeau bas", vous avez ma reconnaissance, et je suis heureux de vous avoir rencontré.
Un plaisir partagé ...!!!
Beaumarchais (1732 / 1799) a écrit:
«J’ai vu les plus honnêtes gens près d’être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien».
«D’abord, un bruit léger murmure, file et sème en courant le trait empoisonné ; telle bouche le recueille et vous le glisse à l’oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe ; il chemine ; et de bouche en bouche, il va, le diable ; puis tout à coup, je ne sais comment, vous voyez la calomnie se dresser».